Je suis une fille pas comme les autres, car j’aime le sexe quand c’est dur et pervers. Cette situation semble déranger mes copines et que certaines d’entre elles disent même que je dois consulter un psy. Pourtant, je me sens normale et qu’à mes 20 ans, je voulais juste du sexe, d’être prise et d’être traitée comme une pute, une salope bonne à baiser.
J’ai trouvé du réconfort
Avec un ami d’enfance, on a l’habitude de raconter nos vies, et ce, même si j’ai un copain, il arrive parfaitement à comprendre ma situation et c’est le seul à trouver ce que je suis normale quand je lui ai avoué ma confession érotique. Pourtant, le souci se repose sur celui qui peut réaliser mes désirs les plus fous côté sexe.
Lors de notre dernière conversation, je lui ai demandé par inadvertance s’il pouvait juste une fois me faire plaisir, ce qu’il a accepté avec un peu de dédain, mais pour moi, le fait qu’il a accepté, c’est l’essentiel. Je lui ai demandé de passer un soir et en me voyant toute nue, il était surpris, voire même un peu dégouté de la fille qu’il a connu jadis et qui veut être baisée et traitée comme une pute.
Du sexe un peu forcé, mais apprécié
Il a enlevé son pantalon, son slip, puis me demandait comment faire. Je sais pertinemment qu’il sait baiser, mais c’est le fait de le faire avec moi, surtout en me traitant de salope qui le dérange. Pour l’aider, je lui ai demandé de s’en souvenir des coups tordus que je lui ai fait quand on était petit et que c’est le moment de se venger. Alors là, il a pris son pied et commence à ma rappeler les mauvais trucs que je lui ai faits. Il m’a pris dans toutes les positions, mettant son pénis dans ma bouche, me défonçant la chatte, puis le cul puis de remettre son pénis dans ma bouche. En guise de conclusion, il a éjaculé sur mon visage. À partir de là, on remet ces plans baise de temps en temps que je ne cesse d’apprécier.